Archives de la catégorie ‘Musique’


Les Mauvais Jours Finiront c’est 4 jours de lutte et de festivités organisés par les différents collectifs libertaires de la métropole.

Au programme : un salon du livre, des projections, des concerts, des spectacles, des tables de presse, des ateliers, une cantine et bien sur la grande manifestation du 1er mai.

Les Mauvais Jours Finiront c’est également l’occasion révée de découvrir ou de redécouvrir les lieux de la ville où les luttes s’organisent : local de la CNT, le CCL, le cinéma l’Univers, l’espace Volume Ouvert et – forcément – la rue.

L’ensemble des bénéfices récoltés iront en soutien au collectif des Olieux (qui vient en aide aux migrants du parc du même nom à Moulins).

Retrouvez le programme complet sur le site du festival.


Les mauvais jours finiront

Programme les mauvais jours finiront

 

Week-end festif et militant avec expos, concerts, projections, débats, cantine, manif,sérigraphie, block party…
Plus d’infos sur lesmauvaisjoursfinirontlille.wordpress.com

Block Party à Calais le 4 octobre

Publié: 28 septembre 2015 par ironstack dans Concert, Infos, Musique, Rendez vous
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Block Party Calais

Venez nombreux !


Terroir Tape 2

Après un an et demi de travail, Terroir Prod a le plaisir de vous présenter le deuxième volet des Terroirs Tapes. 100% autoproduite, cette compilation réunit 18 titres Hip Hop mais pas seulement. On y trouve du dubstep avec le morceau « Over Again » et même un morceau acoustique intitulé « J’aime tuer » de Labrelock. Contrairement à la Terroir tape 1, les instrumentales de la Terroir Tape 2 sont toutes des créations originales. Plus d’une trentaine de personnes ont travaillé sur ce projet : mcs, beatmakers, ingénieurs du son, monteurs, cadreurs, infographistes, illustrateurs etc. Un gros big up à tous les participants sans qui ce projet n’aurait pas pu voir le jour !

Vous pouvez télécharger La Terroir Tape 2 à prix libre et commander un CD à cette adresse : https://terroirproductions.bandcamp.com/album/terroir-tape-2


Soiree-pour-Maxime

Un concert en mémoire de Maxime se déroulera au bar Les Pirates (484 rue Alfred Leroy à Bruay-la-Buissière) le 26 Septembre, 21h.

Avec :

L’entrée est à prix libre (chacun donne ce qu’il peut ou ce qu’il veut), l’ensemble des bénéfices seront reversés à la famille de Max.

A voir aussi, la page Facebook de l’évènement.


Concert AFA NP2C

Le 25 octobre à Lille, concert de rap en soutien à l’AFA NP2C.

Au programme :

  • La Jonction
  • Sheryo et Guez
  • Original Tonio et Spit
  • Lax

Au Resto Soleil / Le Viziteur, 19 rue Henri Kolb. 4 €.


Sound System La Goupille

Le 2 août à 20h, venez danser, taper des pogos et vous rincer la tronche à la Crypte rue Royale à Calais.
On vendra de la bouffe à bas prix pour financer notre prochain concert qui aura lieu à la rentrée!! Grosse teuf en perspective!!! Invitez vos amis et rejoignez nous pour faire la fiesta!!!!

(PS: Relous, nazis, royalistes…etc restez à votre maison!!!! Pas envie de voir vos tronches ce soir là!!!!)


Festival de Calais censuré

Communiqué de l’équipe d’organisation du festival :

Quand la censure devient la règle…

Depuis plusieurs mois, des bénévoles engagés auprès des personnes migrantes travaillent en partenariat avec la Maison pour Tous (MPT) de Calais sur l’organisation d’un festival interculturel, intitulé « A l’uni son, united people festival » initialement prévu du 14 au 20 octobre. Une exposition de 6 artistes était prévue, un « Cabaret du peuple » concernant les migrations dans le Nord Pas-de-Calais, ainsi que deux soirées de concerts avec plus de 10 groupes de musique. L’idée était de faire du lien entre des populations de cultures différentes présentes à Calais, rassembler, soutenir et sensibiliser par le biais d’un événement festif.

Vendredi 11 octobre, soit quelques jours avant le début du festival, la mairie de Calais a adressé un courrier à la MPT dans lequel elle exprime son « refus absolu » que le festival ait lieu. Selon elle, cet événement ne rentre pas dans le cadre de la convention qu’elle a signée avec la MPT. De plus, elle prétend que ce festival constitue une sous-location et que, par conséquent, elle n’a pas été informée dans les délais impartis. Pourtant, il ne s’agit pas là d’une sous-location puisque la MPT est, de fait, co-organisatrice de cet événement. La mairie prétexte que ce festival est militant et politique, ce qui ne rentre pas dans le cadre de la convention signé avec la MPT, alors qu’il est avant tout culturel, et il s’agit bien là d’une des missions de la MPT. Finalement, la mairie menaçant de résilier la convention qui la lie à la MPT, cette dernière décide d’annuler le festival, pliant sous la pression. Ainsi, la mairie interdit et censure ce festival, qui est organisé depuis le début dans un souci de neutralité, afin de permettre une large sensibilisation. La maire cherche à diviser quand notre volonté était de rassembler, elle met l’accent sur les clivages, effraye la population et les partis politiques qui ont peur de perdre des voix en prenant partie… Les exilés et les associations subissent une fois de plus les dommages collatéraux de ces querelles politiciennes.

Plus généralement, il est plus que difficile pour les associations calaisiennes d’aide aux migrants de se réunir dans un lieu public ou d’organiser un évènement « civique » ou « social ». Impossible d’avoir une salle à disposition, impossible de se réunir dans l’espace public. Quelles que soient les circonstances, l’actuelle municipalité de Calais fait valoir son veto et empêche ainsi la solidarité de s’exprimer au détriment des droits fondamentaux. Nous dénonçons cet abus de pouvoir et espérons que cette censure municipale ne restera pas sans autre réaction que celle des associations. Au-delà de la remise en cause des libertés d’expression et de réunion, nous espérons que soit dénoncé le sort réservé aux personnes migrantes et refusons que celles-ci soient instrumentalisées dans la perspective des prochaines élections municipales. Le silence, le délaissement ou le harcèlement ne sont pas des réponses à ce que vivent les personnes migrantes présentes à Calais. La stigmatisation et la division ne sont pas des réponses à la souffrance des calaisiens et calaisiennes.

Pour dénoncer ce coup de force, nous appelons à manifester pacifiquementsamedi 19 octobre2013 à Calais à partir de 14h. Symboliquement, nous défilerons bâillonnés (par un foulard ou du scotch) de la Place d’Armes jusqu’à la Maison pour Tous (MPT).

Voir la page Facebook de soutien




Samedi 13 octobre 2012 à 20h au CCL, 4 rue de Colmar à Lille.

avec :

Prix libre



Concert de soutien au Cri Du Coron avec :

Le Cri du Coron c’est le nouveau groupe libertaire de Bruay-la-Buissière.

C’est au Centre Culturel Libertaire (4, rue de Colmar, Lille) à 20h. Prix libre.
Orga Turbulences Sociales.


THE GROOVIN’ JAILERS – CATCHY REGGAE SUR CASUAL RECORDS

Un nouveau groupe lillois dans le paysage français!!
Les 5 membres de The Groovin’ Jailers se sont retrouvés sur un projet alliant l’énergie du punk, le groove du reggae et la chaleur de la soul/funk.
Ils s’attaquent à la scène Soul-Ska en septembre 2010 et partagent la scène avec des groupes comme Red Soul Community, 65 Mine Street, 8.6 Crew, Dusk ou encore The Black’s Cadillac…
Sous le signe de la bonne humeur et de l’éclate sur scène, les Groovin’ Jailers continuent à propager leur Catchy Reggae sur les scènes de la région Nord/Pas-de-Calais et d’ailleurs !!!


Samedi 14 janvier à 21h au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille, métro Porte des Postes) :
Concert de soutien aux militants toulousains toujours en prison pour avoir commis quelques tags et balancé un seau de merde dans le cadre d’une action contre les prisons pour mineurs.
Avec :
- Bulgarian Yogourt (psycho-punk, Paris)
- Larcin (Oi !, Lille)

Prix libre. Orga Turbulences Sociales.

 

Plus d’infos sur cette histoire : 

Le 14 novembre dernier à Toulouse, une dizaine de personnes ont été interpellées au cours de la rafle menée par une centaine de gendarmes mobiles dans sept lieux d’habitation, et quatre d’entre elles sont depuis incarcérées à la maison d’arrêt de Muret.

Ils et elles sont, avec une autre jeune femme, poursuivis pour « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences contre les personnes ou de destruction ou de dégradations de biens » ;
« violence commise en réunion sans incapacité » ;
« dégradation ou détérioration du bien d’autrui commise en réunion ». Des chefs d’inculpation très lourds, au regard des faits qui leur sont imputés, et pour lesquels ils et elles nient toute participation – l’action réalisée à la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de Labège, le 5 juillet dernier, par une dizaine de personnes qui ont déversé des excréments sur des bureaux et des ordinateurs, et laissé sur les lieux des tracts dénonçant à juste titre l’accentuation de la répression à l’encontre des mineur-e-s. Depuis, quatre des personnes inculpées demeurent ainsi détenues sans que l’on sache pour combien de temps encore, et alors que le soutien matériel (argent, livres, vêtements, courrier) qui leur avait aussitôt été apporté est resté bloqué en tout ou partie pendant des semaines, de façon à les couper du monde extérieur et à faire pression sur elles pour les faire craquer. Par ailleurs, des prélèvements de leur ADN ont été effectués contre leur gré pendant leur garde à vue – le refus qu’elles y ont toutes opposé leur vaudra un procès le 9 mai prochain –, et le tribunal prétexte attendre le résultat de ces prélèvements pour les maintenir en détention en se gardant d’avancer la moindre date concernant leur libération.

La situation des « inculpé-e-s de Labège » rejoint en fait celle de nombreuses autres personnes placées en détention « provisoire » dans diverses geôles françaises pendant des mois et des mois (dernièrement à Paris et à Nantes). Les innombrables lois sécuritaires votées depuis une dizaine d’années – et appliquées en particulier à l’encontre d’une certaine jeunesse criminalisée sous les étiquettes « ultra-gauche » ou « mouvance anarcho-autonome » – permettent en effet à l’Etat français de s’asseoir désormais en toute légalité sur la « présomption d’innocence » censée être à la base de sa justice, créant un véritable délit d’opinion dans un silence presque parfait. La solidarité montrée aux personnes qui se trouvent jetées dans le collimateur policier et judiciaire fait de plus facilement l’objet d’une répression violente.

D’imposantes forces de gendarmerie mobile ont par exemple encerclé la manifestation organisée à Toulouse le 17 décembre en soutien aux « inculpé-e-s de Labège » en voulant disperser brutalement ses quelque 200 participant-e-s après les avoir soumis-e-s à un contrôle d’identité. Que cette manifestation ait malgré tout et heureusement pu se tenir un peu plus tard prouve combien il est important de ne plus laisser faire.

Libération et arrêt des poursuites pour les « inculpé-e-s de Labège » et d’ailleurs !

Comité poitevin contre la répression des mouvements sociaux – antirep86 [arob] free.fr
Collectif liberté pour les inculpé.e.s du 15 novembre Toulouse : nonalepm [arob] riseup.net
CODELIB (Comité de défense des libertés fondamentales contre les dérives sécuritaires) St-Nazaire : codelibsaintnazaire [arob] gmail.com
Collectif Contre Les Abus Policiers, Bordeaux http://clap33.over-blog.com/
Caisse de solidarité Montpellier
Les amis de l’égalité, Blois,
Soif d’utopie – Tours –
Emancipation, tendance intersyndicale, http://www.emancipation.fr