Articles Tagués ‘Rémi Fraisse’


Désarmons la police

AG contre les violences d’Etat
Mercredi 12h dans le Hall Bât A de Lille 3

La police assassine. Ni oubli ni pardon !

Des centaines d’actions, de manifs, d’occupations et de blocus de facs et de lycées s’organisent depuis la mort de Rémi Fraisse partout en France et même au-delà. Cette mort survient après de violentes interventions policières répétées contre les opposants à des projets capitalistes. Ce drame était prévisible, pour ne pas dire programmé…

Dans les quartiers, dans les luttes, en prison et aux frontières la police tue !

Il faut replacer le meurtre de Rémi dans une histoire longue où la police apparaît très clairement pour ce qu’elle est : un appareil chargé de dominer, bannir et soumettre les couches sociales qui auraient le plus intérêt à se débarrasser de ce système parce qu’elles en bénéficient le moins.

Si l’on parle aujourd’hui d’un mort en manif, il ne faut pas oublier que la police, la justice et l’État mutilent et tuent de manière quasi quotidienne et plus discrète dans les rues, dans les prisons, aux frontières – comme à Calais. Ce sont toujours les mêmes qui sont visés : les « classe dangereuses » des quartiers populaires, et les personnes
qui luttent contre le sort qui leur est fait.

Samedi dernier une quatrième manif contre les violences policières a été organisée à Lille, à l’appel de l’assemblée réunie suite à la mort de Rémi Fraisse, tué par la police le 26 octobre 2014. Prétextant du fait que deux ou trois panneaux publicitaires, symboles de la ville-marchandise, aient été conséquemment critiqués, la police a
attaqué le cortège pendant que, non loin de là, Mr le président se pavanait à la Coupe Davis.

Lorsque l’Etat n’a plus rien d’autre à offrir que la crise et les « coupes budgétaires », le processus de militarisation des forces de l’ordre reflète un système qui s’effrite et ne tient, de plus en plus, que par sa police. A la fac, les conditions de vie des étudiantes et étudiants sont de plus en plus précaires, au moment où les facs
s’apprêtent à connaître une sérieuse « cure d’austérité », qui signifie concrètement une baisse de moyens pour les universités de 200 millions d’euros d’ici la fin de l’année !

Les raisons de se révolter se multiplient et si la police doit matraquer, mutiler à coup de flashball ou tuer à coup de grenade pour faire régner l’ordre marchand, et bien qu’à cela ne tienne ! Ils n’hesitent pas. En toucher un pour faire peur à tous… mais jusqu’à quand ?

Soyons nombreux à l’Assemblée de mercredi contre la terreur économique et policière de l’Etat et décidons des modes d’action appropriés.

D’autant plus d’actualité que les flics de Lille sont particulièrement en forme


Solidarite Remi Fraisse Lille

Samedi à 17h, Grand Place de Lille.

La police assassine.
Ni oubli ni pardon !

Des actions, des manifs, et des blocus de lycées ont lieu partout en France et ailleurs suite à la mort de Rémi Fraisse et plus généralement contre la repression. Cette mort est survenue après de violentes interventions policières répétées contre des opposants à des projets capitalistes mais elle est à ajouter à une plus longue liste. Chaque année, la police tue entre 10 et 15 personnes surtout dans les quartiers populaires.

Pour défendre l’ordre social, l’Etat et sa police utilisent de manière systématique du matériel militaire : grenades offensives, tasers, flashballs, lacrymogènes, etc. qui provoquent de plus en plus souvent des blessures graves et des mutilations, parfois la mort.

Dans les quartiers, dans les luttes, en prison et aux frontières la police tue !

Si l’on parle aujourd’hui d’un mort en manif, il ne faut pas oublier que la police, la justice et l’État mutilent et tuent de manière quasi quotidienne et plus discrète dans les rues, dans les prisons, aux frontières –comme à Calais. Ce sont toujours les mêmes qui sont visés : habitant-es des quartiers populaires, précaires, pauvres, personnes en lutte.

Médias et politiques omettent de parler de ces violences policières pour se focaliser sur quelques dégâts matériels lors des révoltes et manifestations. Ils tentent ainsi de diviser et de faire oublier les raisons de la colère alors que la multiplicité des modes d’action fait la force des luttes.

Il faut replacer le meurtre de Rémi dans une histoire longue où la police apparaît très clairement pour ce qu’elle est : un appareil d’Etat chargé de maintenir l’ordre économique, politique et social (capitaliste, raciste et patriarcal) par l’usage de la violence.

Elle est chargée de dominer, bannir et soumettre les couches sociales qui auraient le plus intérêt à se débarrasser de ce système parce qu’elles en bénéficient le moins.

De Zyed et Bouna (2005 – Seine Saint-Denis) à Lahoucine Ait Omghar (2013 – Pas de Calais) et à Rémi Fraisse (2014)
Nous ne vous oublierons pas !


Solidarite Remi Fraisse Lille

Rendez-vous ce soir 18h sur la Grand Place de Lille !

La police assassine.
Ni oubli ni pardon !

Depuis plus d’une semaine, des actions et des manifs ont lieu partout en France et ailleurs suite à la mort de Rémi Fraisse qui manifestait contre la construction d’un barrage à Sievens (Tarn). Cette mort survient après de violentes interventions policières répétées contre des opposants à des projets capitalistes.

Pour défendre l’ordre social, l’Etat et sa police utilisent de manière systématique du matériel militaire : grenades offensives, tasers, flashballs, lacrymogènes, etc. qui provoquent de plus en plus souvent des blessures graves et des mutilations, parfois la mort.

Dans les quartiers, dans les luttes, en prison et aux frontières la police tue !
Si l’on parle aujourd’hui d’un mort en manif, il ne faut pas oublier que la police, la justice et l’État mutilent et tuent de manière quasi quotidienne et plus discrète dans les rues, dans les prisons, aux frontières –comme à Calais. Ce sont toujours les mêmes qui sont visés : habitant-es des quartiers populaires, précaires, pauvres, personnes en lutte.

Médias et politiques omettent de parler de ces violences policières pour se focaliser sur quelques dégâts matériels lors des révoltes et manifestations. Ils tentent ainsi de diviser et de faire oublier les raisons de la colère alors que la multiplicité des modes d’action fait la force des luttes.

Il faut replacer le meurtre de Rémi dans une histoire longue où la police apparaît très clairement pour ce qu’elle est : un appareil d’Etat chargé de maintenir l’ordre économique, politique et social (capitaliste, raciste et patriarcal) par l’usage de la violence.

Elle est chargée de dominer, bannir et soumettre les couches sociales qui auraient le plus intérêt à se débarrasser de ce système parce qu’elles en bénéficient le moins.

De Zyed et Bouna (2005 – Seine Saint-Denis) à Lahoucine Ait Omghar (2013 – Pas de Calais) et à Rémi Fraisse (2014)
Nous ne vous oublierons pas !


Hommage à Rémi mort à Tester

Ni oubli, ni pardon.

Le dimanche 26 octobre aux alentours de 2 heures du matin, Rémi Fraisse, 21 ans a été touché mortellement par une grenade offensive sur le site du barrage du Testet, contesté depuis 2 ans par la population.

En réponse à l’assassinat de Rémi Fraisse et contre toutes les violences policières :

Manifestation ce samedi 1er novembre à 14h30 sur le Grand Place de Lille.

Suivi à 17h d’un rassemblement de soutien à Kobané place de la République.

Rémi Fraisse, assassiné au Testet par la police

Publié: 27 octobre 2014 par ironstack dans Infos
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Solidarite Remi Fraisse Lille

Plus d’une centaine de personnes ce soir à Lille.

Suite au décès survenu sur le site du projet de construction de Barrage de Sivens, au Testet, nous appelons à un rassemblement ce soir à 19h, devant la Fontaine St Michel (Paris).

Hier, samedi 25 octobre, entre 1000 et 2000 personnes venues de toute la France, se sont rassemblées au Testet en opposition au projet de barrage et à la répression violente des opposant-e-s qui a lieu sur place depuis plusieurs mois. Des affrontements violents ont opposé une partie des militants sur place aux gendarmes jusqu’à tard dans la nuit. Flashball, lacrymos et grenades de désencerclement ont blessé plusieurs opposants aux abords du chantier.

Dans la nuit les pompiers et gendarmes disent avoir découvert le corps d’un homme d’une trentaine d’années dans les bois, alors que des informations des opposants sur place prétendent que le corps a été retrouvé au niveau des barrages de police . Les nouvelles sont tombées dans la presse nationale en milieu de matinée, à la consternation de tout le monde sur place. Pour l’heure, on ignore donc tout de l’identité de la personne retrouvée morte et des circonstances de sa mort.

[…]

Des membres du Collectif francilien de soutien à Notre-Dame-des-Landes et sympathisant-e-s des opposant-e-s du Testet.

La liste des rassemblements et des actions de solidarité sur Rebellyon.